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Sophie
Thibaudeau

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Essai (projet)

Cet essai-projet aborde la cancel culture, et ce que l’on peut imaginer pour la suite. L’après cancel culture, c’est une justice transformatrice, nuancée, réparatrice, réconciliatrice. Le projet est imaginé comme un système médiateur, à travers lequel les participant∙e∙s sont invité∙e∙s à expérimenter la spatialisation de moments significatifs d’un processus de guérison sociale.

Post-cancel fait le pont entre éléments de communication non-académique (éléments de la culture pop produits par des militantes, éléments d’actualité de journalistes engagées, articles de diplômées et doctorantes féministes et témoignages de survivantes) et leur matérialisation dans l’espace publique. L’accumulation d’éléments de communication non-académique permet de décentrer le regard et de passer d’une vision universalisante à une série de regards situés, afin de dresser un portrait plus nuancé et représentatif de ce que pourrait être une architecture de l’après cancel culture.

La lignée punitive et coloniale de l’architecture se matérialise dans les institutions et les monuments : le projet propose une mise à jour. Post-cancel s’affirme dans le secteur symbolique de la Place Jacques Cartier à Tiohtià:ke / Montréal. Le projet s’affiche comme une mise en parallèle avec les strates historiques du passé. Il ne s’agit pas d’éliminer, mais de répondre aux éléments du site. Ici, l’architecture est un moyen de revendication.

Supervisé par Tania Paula Garza Rico

Unité 9

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