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Maggy
Chabot

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Essai (projet)

Les changements climatiques touchent tout le monde d’une quelconque façon. Les effets de ceux-ci se font déjà ressentir et la confirmation de notre responsabilité dans l’accentuation de ces aléas signalent le besoin urgent de repositionner notre place dans le monde par rapport à la nature.

 

La prémisse de départ admet donc que les êtres humains ont atteint un moment au-delà de la crise climatologique. Il ne s’agit donc plus de résoudre la crise, mais plutôt de révéler des phénomènes qui permettent de poser un regard différent sur qui nous sommes, comment nous vivons et comment nous évoluons avec l’environnement.

L’essai (projet) s’intéresse à l’impermanence d’un paysage naturel plus vulnérable, soit le parc côtier Kiskotuk de Rivière-du-Loup. L’objectif est donc d’engendrer une prise de conscience collective envers la nature et l’utilisation de ses ressources. Plutôt que de proposer des solutions d’adaptation et de résilience où l’homme continue d’entretenir un rapport de force envers les dynamiques de la nature, la démarche valorise davantage des méthodes de sensibilisation in situ. Au sein d’un parcours interprétatif, des installations minimales se retrouvant à la jonction entre l’art, l’architecture et le paysage permettent de s’abriter, de porter sur la réflexion et de marquer la promenade paysagère.

Supervisé par Pierre Thibault

Unité 8

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20 Maggy Chabot
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