Cet essai (projet) s’intéresse à la perception générale de l’angoisse de la mort au sein de notre société. Un questionnement par rapport à son caractère inéluctable et de son inconnu. Le projet s’implante dans un bâtiment emblématique situé au cœur de Montréal, soit l’ancien entrepôt Van Horne. Il se présente comme une possible matérialisation du seuil entre la vie et la mort, comme un lieu de cognition se basant sur la relation entre l’homme, son milieu et ses émotions.

 

En adaptant la structure existante de l'entrepôt, un déambulatoire offre aux visiteurs la possibilité de vivre différentes émotions dans des chambres isolées, chacune créant son propre univers onirique. Le bâtiment agit comme seuil, un nouveau monde se crée et se développe autour des différentes figures de la mort, telle la vie après la mort, la notion de temps, la solitude ou même l’absence. 

 

Le vide, quant à lui, est conçu comme un espace de réflexion, de méditation et d'échange favorisant la contemplation et la discussion autour des différentes thématiques abordées. Les passages sont conçus de manière à créer un rythme et une séquence hasardeuse offrant ainsi une expérience personnalisée et immersive. Ici, l’architecture suscite la réflexion, l’émotion et l’émerveillement.

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Supervisé par Ariane Ouellet-Pelletier

Unité 1